Coaching Lyon : Pourquoi les leaders ont du mal à demander de l’aide

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Table des matières

Il est essentiel de pouvoir transformer ses expériences en quelque chose de valable. Et selon les pro en coaching, accompagnement, neuro-atypique a Lyon, chaque chose que vous expérimentez dans la vie tombe dans l’une de ces 4 catégories :

Demander de l’aide, c’est faire preuve de faiblesse

Les leaders pensent souvent que demander de l’aide aux autres est un signe de leur propre incompétence ou de leurs lacunes. Ils en éprouvent de la honte et de l’embarras, ce qui les amène à décider de faire cavalier seul plutôt que de demander de l’aide.

Il n’y a personne à qui demander

Les leaders sont des leaders pour une raison. Ils vont de l’avant, tracent de nouveaux territoires et laissent les autres derrière eux. Ils sont souvent tellement en avance sur le peloton que lorsqu’ils regardent autour d’eux, ils se retrouvent seuls, sans personne sur qui s’appuyer. Ce sentiment d’isolement leur apprend à compter sur eux-mêmes et à adopter le mantra « Si cela doit être fait, ce sera fait par moi ».

« C’est ma responsabilité »

C’est dans leur ADN – les leaders assument des responsabilités et c’est un trait de caractère vaillant. Sauf qu’ils ont tendance à prendre la responsabilité de tout. Y compris des choses qu’ils pourraient externaliser, déléguer ou même éliminer. Ils s’accrochent souvent à des projets, des tâches et des fonctions bien plus longtemps qu’ils ne le devraient, ce qui entraîne un ralentissement de la croissance.

« Je suis censé avoir toutes les réponses ».

Les gens s’adressent aux leaders pour obtenir de l’aide – et non l’inverse. C’est ce raisonnement qui amène les leaders à penser qu’ils doivent être ceux qui ont toutes les réponses plutôt que ceux qui demandent de l’aide. « Si je demande de l’aide, alors je serai perçu comme quelqu’un qui ne sait pas ». Je ne peux pas accepter cela.

Demander de l’aide exige de la vulnérabilité

Qui aime être vulnérable ? C’est dégoûtant et inconfortable. Demander de l’aide requiert de la vulnérabilité et une ouverture d’esprit pour permettre à quelqu’un d’autre d’intervenir et d’aider. C’est un geste intime et l’intimité n’est pas toujours facile, même dans les meilleures relations.

Je suis supposé(e) le faire seul(e)

Il n’est pas rare que les dirigeants pensent que demander de l’aide revient à « tricher » et que la gloire du succès n’est pas tout à fait la même s’ils ont reçu de l’aide. Demander de l’aide signifie en quelque sorte qu’ils enfreignent la règle tacite de la réalisation autonome des objectifs.

Il y a probablement 60 autres raisons que je pourrais énumérer pour expliquer pourquoi les dirigeants ne sont pas à l’aise pour demander de l’aide. Ce qu’elles ont toutes en commun, c’est qu’elles découlent toutes d’un ensemble de croyances selon lesquelles demander de l’aide donne une mauvaise image de soi. Ce type de croyances conduit à un comportement qui les maintient dans l’obligation de faire cavalier seul, de souffrir en silence et de porter la charge sur leurs épaules sans aide.

Il est intéressant de noter que ces croyances sont toutes des fabrications qui font obstacle à une productivité, une efficacité et des performances massives.