Je commencerais par classer les « cadres » en trois catégories : Les dirigeants de grandes entreprises, les entrepreneurs qui dirigent des entreprises de taille importante (5 à 750 millions de dollars de chiffre d’affaires) et les cadres supérieurs qui les soutiennent.
Ayant coaché des individus de toutes ces catégories au cours des 16 dernières années, j’ai remarqué qu’en règle générale, ils ont des difficultés dans un ou plusieurs des domaines suivants :
- Isolement –
Ces leaders selon les pro en coaching, accompagnement, neuro-atypique a Lyon, ont souvent l’impression de porter seuls le fardeau de la responsabilité. Même s’ils savent déléguer, ils ont toujours l’impression d’être responsables du succès ou de l’échec de l’entreprise. Ils passent beaucoup de temps à « réfléchir » ou à s’inquiéter des défis qu’ils doivent relever et ont du mal à en faire part aux autres. Ce sentiment de responsabilité est une lourde charge à porter et les laisse se sentir très isolés et seuls.
- Des relations tendues –
C’est peut-être le problème le plus courant auquel sont confrontées les trois catégories de cadres : le sentiment que les autres ne sont pas nécessairement sur la même longueur d’onde qu’eux. La communication peut être difficile lorsque les résultats tardent à venir et qu’ils ont l’impression que les autres n’ont pas le même sentiment d’urgence, d’impulsion ou de motivation. En outre, les conversations peuvent s’enflammer et devenir personnelles OU elles peuvent s’arrêter net – créant un mur de silence qui empêche tout progrès.
- Insatisfaction chronique –
Ces types de leaders sont motivés et ont des objectifs massifs à atteindre. Il n’est pas rare qu’ils se définissent en fonction de leurs réalisations. Chaque victoire leur procure un sentiment d’euphorie, mais cette satisfaction ne dure pas. Ils sont déçus par le taux de croissance de l’entreprise et ont l’impression qu’ils devraient être beaucoup plus avancés qu’ils ne le sont. Ils se demandent ce qui les empêche d’avancer. Est-ce l’équipe ? La stratégie ? Ou peut-être leur propre leadership ?
- Dérapage –
C’est un terme que j’ai inventé lorsque j’ai commencé à remarquer que la grande majorité de mes clients laissaient des choses importantes « passer entre les mailles du filet » – des choses comme leur sommeil, leur exercice physique, leur alimentation, du temps ininterrompu avec leurs enfants et leur conjoint, du temps avec leurs amis, et du temps pour se reposer et se restaurer. Les expressions « Je n’ai pas assez de temps » et « J’ai trop de choses à faire » sont pratiquement inscrites sur leur front – et sont la cause d’un stress et d’un épuisement énormes.